Le 27 décembre 1978 à 4 heures du matin, le deuxième président de l’Algérie, Houari Boumediene, meurt suite à une longue maladie. Les funérailles officielles auront lieu le 29 décembre 1978 au cimetière d' El Alia.
ILS ONT DIT A PROPOS DE BOUMEDIENE
Jimmy Carter, président des Etats-Unis :
« L’Algérie a perdu un chef d’état dont le monde se souviendra longtemps ».
James Callaghan, premier ministre britannique :
« Le peuple algérien a perdu un dirigeant de grande stature dans les affaires mondiales ».
Le maréchal Tito, président de la Yougoslavie :
« ... cet humaniste et combattant pour la réalisation des idéaux les plus nobles qui animent le mouvement des non alignés et ce protagoniste authentique de l’instauration des rapports plus équitables entre les états et les peuples du monde ».
Ola Ullsten, premier ministre de la Suède :
« Le président Boumediene a placé l’Algérie a l’avant-garde de la lutte des peuples du tiers monde pour former leurs sociétés selon leurs propres désirs et leurs idéaux … nous avons toujours eu en Suède, le plus grand respect pour sa vue globale des problèmes du Tiers monde et des relations entre les nations riches et les nations pauvres ».
Neelam Sanjiva Reddy, président de l’Inde :
« Le combat de Boumediene est une source inépuisable d’inspiration pour des millions d’hommes dans le monde, qui se battent pour leur émancipation politique et économique ».
Le Monde, journal quotidien français :
« L’envergure de l’homme d’état qui pendant treize ans a forgé l’Algérie moderne et occupé une place majeure sur la scène internationale en s’affirmant comme le chef de file intransigeant du Tiers monde ».
La Pravda, l’organe officiel du parti communiste soviétique :
« Dans notre mémoire Houari Boumediene restera comme un fils fidèle du peuple algérien, un homme d’état remarquable et une personnalité politique du monde arabe et de l’Afrique, un partisan énergique des rapports amicaux et d’une large coopération entre l’Algérie et l’URSS qui correspond aux intérêts nationales des deux pays ».
The New York Times, quotidien américain :
« Le président Houari Boumediene a fait de l’Algérie le champion des revendications des pays du Tiers monde ».
The Daily Telegraph, quotidien britannique :
« en 1974, le président Boumediene avait émergé comme le principal pilier du Tiers monde dans sa lutte contre la domination économique des nations industrialisées. Il voulait que ces pays concourent à établir une économie mondiale plus juste ».
Le Financial Times, quotidien économique et financier britannique :
« L’intérêt que toutes les nations du monde ont apportés à l’état de santé du président Boumediene a donné un sentiment de fierté aux Algériens. Cet intérêt reflète l’une des grandes réussites de Boumediene : il a donné a l’Algérie un statut international considérable ».
The Guardian, le quotidien d’information britannique :
« Le président Boumediene a confirmé l’Algérie comme un Etat socialiste non-aligné. Pour Boumediene l’Algérie était irréversiblement engagée dans sa propre marque de socialisme tiers-mondiste et suffisamment mûre pour faire face à toute influence étrangère ».
Al-Ahram, célèbre quotidien égyptien :
« Le peuple égyptien a été éprouvé par la perte de l’homme qui a levé l’étendard de l’arabisation dans son pays, qui a poussé son peuple vers le progrès et le développement et qui s’est tenu aux coté du peuple égyptien lors de la guerre d’octobre 1973 ».
« L’Algérie a perdu un chef d’état dont le monde se souviendra longtemps ».
James Callaghan, premier ministre britannique :
« Le peuple algérien a perdu un dirigeant de grande stature dans les affaires mondiales ».
Le maréchal Tito, président de la Yougoslavie :
« ... cet humaniste et combattant pour la réalisation des idéaux les plus nobles qui animent le mouvement des non alignés et ce protagoniste authentique de l’instauration des rapports plus équitables entre les états et les peuples du monde ».
Ola Ullsten, premier ministre de la Suède :
« Le président Boumediene a placé l’Algérie a l’avant-garde de la lutte des peuples du tiers monde pour former leurs sociétés selon leurs propres désirs et leurs idéaux … nous avons toujours eu en Suède, le plus grand respect pour sa vue globale des problèmes du Tiers monde et des relations entre les nations riches et les nations pauvres ».
Neelam Sanjiva Reddy, président de l’Inde :
« Le combat de Boumediene est une source inépuisable d’inspiration pour des millions d’hommes dans le monde, qui se battent pour leur émancipation politique et économique ».
Le Monde, journal quotidien français :
« L’envergure de l’homme d’état qui pendant treize ans a forgé l’Algérie moderne et occupé une place majeure sur la scène internationale en s’affirmant comme le chef de file intransigeant du Tiers monde ».
La Pravda, l’organe officiel du parti communiste soviétique :
« Dans notre mémoire Houari Boumediene restera comme un fils fidèle du peuple algérien, un homme d’état remarquable et une personnalité politique du monde arabe et de l’Afrique, un partisan énergique des rapports amicaux et d’une large coopération entre l’Algérie et l’URSS qui correspond aux intérêts nationales des deux pays ».
The New York Times, quotidien américain :
« Le président Houari Boumediene a fait de l’Algérie le champion des revendications des pays du Tiers monde ».
The Daily Telegraph, quotidien britannique :
« en 1974, le président Boumediene avait émergé comme le principal pilier du Tiers monde dans sa lutte contre la domination économique des nations industrialisées. Il voulait que ces pays concourent à établir une économie mondiale plus juste ».
Le Financial Times, quotidien économique et financier britannique :
« L’intérêt que toutes les nations du monde ont apportés à l’état de santé du président Boumediene a donné un sentiment de fierté aux Algériens. Cet intérêt reflète l’une des grandes réussites de Boumediene : il a donné a l’Algérie un statut international considérable ».
The Guardian, le quotidien d’information britannique :
« Le président Boumediene a confirmé l’Algérie comme un Etat socialiste non-aligné. Pour Boumediene l’Algérie était irréversiblement engagée dans sa propre marque de socialisme tiers-mondiste et suffisamment mûre pour faire face à toute influence étrangère ».
Al-Ahram, célèbre quotidien égyptien :
« Le peuple égyptien a été éprouvé par la perte de l’homme qui a levé l’étendard de l’arabisation dans son pays, qui a poussé son peuple vers le progrès et le développement et qui s’est tenu aux coté du peuple égyptien lors de la guerre d’octobre 1973 ».
PAYS QUI ONT ANNONCÉS UN DEUIL SUITE AU DÉCÈS DE BOUMEDIENE
رحمه الله كان أحد صقور الثورة المعجزة و المباركة من الله...قال صلى الله عليه و سلم : يدخل الجنة 70 ألفا تم 700ألف الكتف على الكتف
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